samedi 30 mai 2009

Vernissage

Pour la deuxième année consécutive, Eponine a participé à l'atelier municipal "Petits peintres" et nous sommes très fiers d'aller admirer les oeuvres de notre fille et de ses petits copains dessinateurs-sculpteurs, joliment exposées pendant une semaine à la Mairie de Massy.

Tableaux réalisés à l'aide de divers végétaux (écorces, feuilles, pétales..),

bandes de papiers peintes, découpées puis tressées ensemble,

dessins constitués de morceaux de cartes routières,

encres de couleur littéralement projetées sur une feuille blanche,

petits animaux en terre cuite, pliages et fleurs en origami...

... les procédés sont variés et créatifs mais l'ensemble est harmonieux et étonnamment abouti de la part d'enfants aussi jeunes.

vendredi 29 mai 2009

Pour Mamie


On n'avait pas trop la tête à ça...
... mais pour la photo et pour Mamie Yvette, on esquisse un sourire.

mercredi 27 mai 2009

Eponine fonde un club

Un soir, Eponine rentre toute triste de l'école : elle s'est disputée avec ses deux meilleures copines L. et M. Pire : L., la meneuse, qui est un peu peste sur les bords, a exclu Eponine de son "club" et ma louloute a passé deux récréations seule, sans pouvoir se joindre aux jeux de ses anciennes amies.
Je console Eponine et lui suggère d'essayer d'intégrer un autre petit groupe de filles, plus tolérant et moins retors que celui-ci.

Le lendemain soir, Eponine est toute sourire : L. a décidé de la réintégrer dans son club mais par contre, c'est la petite O. qui est désormais exclue. Eponine, forte tête mais bon coeur, a bien essayé de consoler O. et d'obtenir sa réintégration, mais en vain : L.-la-terrible a dit "non".

Mais mon Eponine a de la ressource!
Le surlendemain, elle débarque avec sa mine des grands jours. Les yeux brillants, le sourire éclatant et espiègle, elle sautille sur place pour m'annoncer la grande nouvelle : elle a fondé un club, SON club.
Au passage, elle a recruté deux nouvelles copines "très gentilles", E. et N., et a convaincu son ancienne copine M. - redevenue sa copine, donc, essayez de suivre - de rejoindre "en secret" le club "les mardis et vendredis, pendant que L. est au cours de soutien". Car L., qui dit plein de gros mots, veut tout le temps commander et change de copines comme de chemise, n'est pas la bienvenue dans ce nouveau club et doit même ignorer jusqu'à son existence. Eponine, non sans un humour un peu vache, me lit avec une voix de conspirateur le réglement qu'elle vient de concocter, et qui exclut d'emblée la petite L. :

Club d'Eponine : réglement intérieur
Règle n°1 : Interdit de dire des gros mots
Règle n°2 : Interdit de dire "T'es plus ma copine"
Règle n°3 : Interdit de dire "T'es moche" ou "T'es bête"
Règle n°4 : Il faut savoir bien lire et bien dessiner

Eponine conclut en soupirant : Tu sais, M. est très forte pour garder les secrets mais je crois que L. se doute de quelque chose.

Deux jours plus tard, M. rejoignait définitivement le club d'Eponine, ainsi que la petite O. Du coup, L. se retrouvait seul membre actif de son propre club et, déconfite, jetait l'éponge.
Le même jour, Eponine, magnanime, prononçait la fusion des deux clubs.

Aux dernières nouvelles, L. ne fait finalement plus partie du club : il paraît qu'elle dit vraiment trop de gros mots.

mardi 26 mai 2009

Encore Lilie et Sidonie

lundi 25 mai 2009

A "la Maison-Alfort"

Ce week-end, échange de bons procédés, nous gardons les enfants de Maële et Régis, qui s'offrent une petite escapade à Lille en amoureux.
Il y a des mioches dans tous les coins mais heureusement, il fait beau!

Valérie, perplexe devant les exploits de Marie et Sidonie

Lilie, nouvelle ambassadrice L'Oréal "Parce que je le vaux bien"

Ambiance sulfureuse dans le jardin :
les grands jouent à "Rien à déclarer"


Julian ne perd pas le Nord : il fait sauter la banque

Soleil au zénith, l'ambiance monte encore d'un cran et ça bouillonne. Le tuyau d'arrosage s'impose!

Nouvelle recette de la soupe au pistou

samedi 23 mai 2009

Au revoir et merci


Née à la campagne dans une famille nombreuse, elle a souffert de la guerre et des privations.
Elle disait : Je ne pourrai plus jamais manger de topinambours.
Elle a patiemment attendu 7 ans le retour de son fiancé de guerre.
Elle disait : Raymond, il avait fière allure dans son uniforme.
Puis ils ont eu une unique petite fille qu'ils ont appelée Martine, comme l'héroïne des livres pour enfants.
Ils n'avaient pas beaucoup d'argent mais tous les trois, ils ont été heureux, je crois.
Elle appelait son mari "Zouzou"
Et cela nous faisait rire, mon frère et moi.
Elle aimait et admirait son gendre, qu'elle ne réussit jamais à tutoyer.
Elle disait : Jacques, vous reprendrez bien du gigot?
Chaque année, ils nous emmenaient en vacances un mois à la montagne ou à la mer.
Elle disait : Alors les enfants, vous êtes contents?
Plusieurs étés de suite, nous avons été à Ribiers, près de Sisteron.
Il faisait chaud et quand on ne se baignait pas dans le Buech, elle nous remplissait une bassine d'eau pour jouer dedans et s'arroser.
Elle m'achetait souvent des Schtroumphs au marché du village.
Elle faisait les courses en vélo et nous ramenait des chewing-gums et des sucettes.
Tous les dimanches à Bondy, elle nous servait des radis, une salade de tomates, du gigot bien saignant et de délicieuses frites maison.
Elle disait : Mangez, mangez, ne faites pas de restes.
Elle nous donnait en cachette, à Nico et à moi, une pièce de 10F.
Elle disait : Chut, ne le dis pas à ta mère.
Elle pleurait facilement et c'était un jeu d'enfants de la faire gentiment enrager.
Elle disait : Ah, les petits chameaux!
Elle s'inquiétait beaucoup pour nous et craignait toujours qu'on ne se fasse mal.
Elle disait : Couvre ta gorge, tu es toute dégavée!
Puis on a grandi mais elle s'inquiétait toujours autant.
Elle disait : ça va Régis? Et les enfants?
L'argent qu'ils avaient économisé, ils nous en faisaient profiter, mes parents, mon frère et moi.
Elle disait : Tu achèteras ce que tu voudras.
Elle était toujours là pour nous, même quand nous, jeunes et insouciants, n'étions pas toujours là pour elle.
Elle aimait raconter des histoires du temps où nous étions petits.
Elle disait : Nicolas jouait avec le petit camion, et quand Martine a demandé à lui parler au téléphone, il a crié : "A pas l'temps!".
Quand son mari, très malade, est mort, elle a pleuré et elle a dit :
C'est ce qu'il voulait, ce n'était plus une vie pour lui.
Elle était heureuse que Nicolas se souvienne aussi bien des récits de guerre de Pépé.
Elle disait : Ah, comment il s'appelait déjà, ce soldat... Si Nicolas était là, il saurait nous le dire.
Généreuse, hyper sensible et naïve, elle faisait toujours passer les autres avant elle-même.
Elle disait, les larmes aux yeux : Pauvre Mme x., elle n'a vraiment pas eu de chance dans la vie.
Elle était tellement fière quand j'amenais mes filles dans sa maison de retraite.
Elle disait : Eponine est aussi sensible que moi, et Sidonie a les yeux de son Pépé.
Hier au téléphone, elle m'a dit comme à chaque fois :
Ma cocotte, tu feras une bise à Régis et à tes poupettes de ma part.
J'ai dit : Je t'embrasse, Mamie.

Mais ce matin, après un premier arrêt cardiaque, elle s'est endormie doucement et ne s'est pas réveillée.
Elle venait d'avoir 85 ans et c'était ma grand-mère.

Avec elle, une part de mon enfance s'en est allée.

mercredi 20 mai 2009

Les p'tits progrès

Sidonie :
- devient philosophe. Quand elle fait une bêtise, elle présente ses petites paumes en l'air, penche la tête, soupire et conclut : C'est pas grrrave..
- commence à savoir manier la souris de l'ordinateur et s'amuse comme une folle avec son CD-ROM Dora l'Exploratrice
- parle de mieux en mieux, argumente, nous tient des discours avec des adverbes et des compléments
- tient beaucoup à son prénom. Si on lui donne un petit surnom affectueux, elle s'écrie, piquée au vif : Non, moi c'est Sidonie, s'appelle!!
- essaie de négocier son entrée à l'école maternelle sans être propre : A l'école, y'a des couches, hein Maman? . Bin voyons.
- alors qu'elle n'a mis les pieds dans sa future école qu'une seule fois, déclare à qui veut l'entendre : Et puis d'abord, ma maîtresse, elle est très gentille!
- fait le boute-en-train à la halte-garderie et a pleins de copains : Hadrien (qu'elle prononce Ha-di-rin), Lucine, Elliott, Jeanne, Lisa, Eric, Gabrielle. Et puis Elodie : Elodie, c'est ma copine, elle est belle avec son manteau rose et elle est gentille.
- a été très courageuse chez la pédiatre et n'a même pas pleuré lorsque celle-ci lui a fait un vaccin. Quant à son test des yeux, il ne manquait pas de fantaisie : elle ne voyait pas la maison sur la 4ème ligne mais distinguait très bien bien l'avion sur la petite ligne tout en haut.

Eponine :
- devient une pro de l'orthographe et demande cinquante fois par jour: Et ça, ça veut dire quoi?
- commence à connaître des choses sur l'Histoire de France
- a une mémoire d'éléphant et cite La Fontaine au beau milieu d'une conversation
- mais a toujours un peu de mal à lire l'heure et perd régulièrement ses affaires
- est très fière de passer en CE2 l'année prochaine
- sue sang et eau sur ses tables de multiplication
- si on la laisse faire, s'habille et mange sans décoller de ses lectures. Résultat : vêtements à l'envers, cheveux en pétard et assiette désespérément pleine
(Cela rappelera des souvenirs à certains : ma copine Charlotte et moi, à dix ans, assises en plein soleil sur des ruines crétoises à lire "Fantômette mène l'enquête")
- fait des progrès en escalade : elle se sert mieux de ses jambes pour grimper
- mais renverse régulièrement sa bouteille d'eau sur ses cahiers d'école
- est moins mauvaise joueuse qu'avant... mais y'a encore du boulot

lundi 18 mai 2009

Chantons sous la pluie

Doo-dloo-doo-doo-doo
Doo-dloo-doo-doo-doo-doo
Doo-dloo-doo-doo-doo-doo
Doo-dloo-doo-doo-doo-doo...

I'm siiinging in the rain,
Just siiinging in the rain,
What a glorious feelin',
I'm happy again
(...)
I'm singin' and dancin' in the rain!

Voilà.
C'était un beau week-end du joli mois de Mai.
Le week-end où ma chorale se joignait à la chorale Orpheo de Niort pour donner à l'unisson deux concerts, l'un à la cholégiale de Saint-Marc-La-Lande et l'autre à l'Oratoire de La Rochelle.
Il aurait pu, il aurait dû faire beau sur la Charente-Maritime.
Je n'avais emmené ni laine polaire, ni parapluie et ma compagne de chambre avait un petit short en dentelle comme bas de pyjama.
Mais il faisait 10° et la pluie tombait, immuable.

L'abbaye de La-Celle-sur-Belle

Un bien bel endroit pour pique-niquer (par beau temps)

Heureusement, malgré la pluie glaciale, l'ambiance dans le car puis dans l'abbaye où nous étions logés était légère, chaleureuse et potache : plaisanteries incessantes et douteuses, chansons paillardes, démonstrations des divers talents de certains (rouler la langue, faire bouger les oreilles et les narines, siffler avec les doigts, grimacer atrocement etc.).
La moyenne d'âge avait beau être très respectable (je n'en dirai pas plus), je me serai crue de retour au temps béni des jolies colonies de vacances de Pierre Perret. C'est que cinquante retraités en vadrouille, ça fait du bruit!
Quant à l'accueil d'Orpheo, il était aussi enthousiaste que la météo était maussade et la fusion des deux choeurs s'est faite en douceur, dans la bonne humeur.
Bien sûr, nos deux concerts étaient pleins d'imperfections mais étant données les circonstances (nous rencontrions Orpheo pour la première fois le jour même du concert), la performance était tout à fait honorable.

Petite balade sur le port de La Rochelle

Le dimanche, épuisés par trop d'émotion, de longues répétitions et une courte nuit, plusieurs choristes, et pas des moindres, étaient en petite forme et le retour en car fut singulièrement plus calme que l'aller.
Et maintenant, rendez-vous à Orsay et Verrières les 6 et 7 Juin!

mardi 12 mai 2009

Ma petite Eponine

8h, à la table du petit-déjeuner.
Eponine : Est-ce que c'est vrai que les petites soeurs, ça devient de plus en plus embêtant en grandissant?
Moi, fronçant les sourcils : Quelle drôle d'idée! A vrai dire, ça dépend. Ca dépend surtout de la façon dont tu te comportes avec elle, de l'exemple que tu lui donnes, puisqu'elle veut tout faire comme toi.
Pas de réponse.
Je poursuis : Et puis, réfléchis bien, est-ce que tu es vraiment sûre de la trouver si embêtante, ta petite soeur? Bien sûr, il y a des jours où elle te casse les pieds à te copier et à te suivre partout mais d'autres fois, tu es bien contente de la trouver pour jouer aux Polly Pocket ou pour vous déguiser. Au fond, vous rigolez bien ensemble.

Tu sais, une petite soeur, ça a beaucoup de bon et puis aussi du moins bon. C'est comme avoir des enfants. Nous, on vous aime, Sido et toi. Et pourtant, depuis que vous êtes nées, on ne va presque plus au cinéma, on voyage beaucoup moins, c'est une contrainte. Mais la vérité, c'est que pas un instant, même quand vous êtes très pénibles, on ne regrette de vous avoir eu toutes les deux.


Eponine baisse la tête et se met à pleurer.
Moi : Eponine, mais pourquoi tu pleures??! On essaie juste de t'expliquer, c'était gentil ce que je te disais!
Eponine, sanglotant : Bin oui, justement, c'est pour ça que je pleure, c'est parce que c'était gentiiiil...

vendredi 8 mai 2009

La maison de Magalie

Cet après-midi, nous visitons la nouvelle maison de nos amis Magalie et Fred, qu'ils ont fait construire aux Granges-le-roi, près de Dourdan dans l'Essonne. Ils s'y installeront au mois de Juin, dès que le carrelage, les salles de bain et le ponçage de l'escalier seront finis.

La maison de Magalie est parfaite : coquette, spacieuse, avec salle de bain "en suite" dans la chambre des parents, et située dans un minuscule petit village entouré de champs de colza.
Oui, mais (il y a toujours un "mais") :
- il n'est pas prévu d'installer des lignes téléphoniques supplémentaires pour raccorder les nouvelles maisons - c'est cool, sans internet et privé de World of Warcraft, Fred se couchera plus tôt.
- Magalie vient d'apprendre que la mairie allait construire des logements sociaux juste à côté - ça valait le coup de venir s'installer à la campagne.
- la route juste devant chez eux sera peut-être très passante car le plan de circulation va être revu.
- les entrepreneurs ont volé des kilos de bonne terre de leur jardin.
Allez Mag, courage : je suis sûre qu'elle sera super, ta maison.

jeudi 7 mai 2009

RBVB









RBVB, soit Rouge Bleu Vert Blanc : c'est le titre de cette chorégraphie ultra-moderne de la compagnie La Baraka, mis en scène par Abou Lagraa au théâtre de Sceaux.
Dans un premier temps, une danseuse occupe seule la scène et laisse son corps être traversé d'émotions et de mouvements, comme un instrument de musique vivant.
Puis, trois danseurs de hip-hop, chacun dans un carré de couleur différente et chacun à leur tour, proposent un numéro à cheval entre les traditionnelles acrobaties du hip-hop et la danse contemporaine, alliant esthétisme, originalité et virtuosité.
Alors qu'on déguste un dessert au bar du théâtre, tous les artistes débarquent et Régis se fait le plaisir d'aller remercier Abou Lagraa, le jeune chorégraphe, qui lui répond avec un large sourire.

mercredi 6 mai 2009

La fille d'Harry Potter

Petite sorcière deviendra grande

Le temps béni de l'enfance

lundi 4 mai 2009

Les aventuriers de la glacière perdue

A la campagne
Y'a toujours un truc à voir
Des sangliers, des hérissons
Des vieux sur des tracteurs
A la campagne

Quand on est citadin
On demande aux paysans
Le temps qu'il fera demain

(
Bénabar, A la campagne)


Nous voilà donc à la campagne pour le week-end, à deux heures de Paris, dans une grande et belle maison en pierre (mais sans chauffage..) située au village des Foucards, non loin d'Auxerre dans l'Yonne.
C'est François - compagnon de Danielle, la tante de Régis - qui a gentiment accepté de nous accueillir dans sa maison de famille et Danielle a elle aussi fait le déplacement.
Arrivant sur place un vendredi 1er Mai, on se doutait que les magasins seraient fermés et on avait tout prévu pour ne manquer de rien jusqu'au lendemain.

Tout prévu, sauf que Régis oublierait la glacière contenant notre déjeuner et notre dîner sur le parking de l'immeuble à Massy.
Un exploit de plus à rajouter à l'actif de mon chéri, donc.
Bref, on a fini au restau (le midi) et devant une assiette de nouilles (le soir - fort heureusement, le voisin nous avait prêté du sel et du beurre).

Les filles, elles, étaient ravies de participer à la Fête du Train à Toucy, organisée par une association d'anciens de la SNCF, désireux de faire partager leur passion des vieilles locos.

Dany a fait tûûût tûûût
Chef de gare Eponine, au rapport

Le lendemain, direction : le chantier médiéval de Guédelon. C'est Michel Guyot, propriéaire du château de Saint-Fargeau, à quelques kilomètres de là, qui a eu l'idée originale et ambitieuse de construire sur 30 ans un vrai château fort, dans le style et avec les méthodes et outils du Moyen-Age. C'est à la fois un gigantesque chantier à ciel ouvert qui emploie 35 artisans salariés ou bénévoles, mais aussi un parcours pédagogique pour les scolaires, un laboratoire de recherche en plein air (qui vise à mieux connaître les techniques de construction de l'époque) et un grand parc qui accueille 250 000 visiteurs par an et qui abrite une forêt, une carrière de pierre, une forge, une vannerie, un atelier de teinture etc.

A la campagne
Y'a des lieux pleins d'histoire

Des châteaux tout cassés

Et des arbres centenaires


Eponine au pilori
Mais à qui appartient cette petite main?

Le pont-levis

Le château de Ratilly (réellement d'époque, celui-là)

Le samedi soir, dans la grande salle de jeu de la maison, je ratatine Régis au ping pong... avant de me rendre compte, très déçue, que la table est inclinée de son côté, ce qui m'avantage indéniablement.

Barbecue et balade à pied sont au programme de notre dimanche, ainsi qu'un petit tour dans le tracteur conduit par François, tous les quatre dans la remorque.
On a toutes les peines du monde à convaincre les filles de monter dans la voiture pour rentrer à Paris.

Le jardin du petit Musée d'art contemporain

vendredi 1 mai 2009

La vie en blog

Vivre ou blogger, il faut choisir.

Quand rien de particulier ne se passe dans notre vie, j'ai tout le temps de blogger mais manque un peu de matière.
A l'inverse, quand les péripéties se bousculent, j'ai beaucoup à raconter mais comme je suis débordée, je n'arrive pas à suivre le rythme.
Dernièrement, j'ai pris beaucoup de retard dans mes récits mais promis, je rattrape, je rattrape!